jeudi 26 janvier 2012

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Une société intoxiquée par les chiffres
Propositions pour sortir de la crise globale

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1 commentaire:

  1. Etant intéressé par la partie traitant des changements climatiques, je n'ai lu que le chapitre consacré.
    En effet, si je ne connaissais l'auteur, j'aurais pu le soupçonner d'être un "climatosceptique", c'est à dire dans l'acceptation usuelle du terme, quelqu'un qui remet en doute "les chiffres" du GIEC pour mieux en nier l'origine anthropique des changements climatiques. rappelons comment le GIEC résume le changemnt climatique dans ses résumés de rapports à l'intention des décideurs. Concernant le dernier (oct. 2013) : l'origine des changements climatiques actuels est très probablement dus pour une large part à l'émission des gaz à effet de serre anthropiques (CO2, méthane, NOx, ....).
    Je me demandais donc ce que l'auteur pouvait écrire au sujet "des chiffres" sur lesquels se basent les rapport du GIEC, lesquels semblent être ceux repris fidèlement et universellement par les journalistes, politiques, ... et que les climatosceptiques jugent alarmistes, exagérés, catastrophiques.
    Si j'ai bien compris, c'est tout le contraire : les présumés journalistes et politiques "alarmistes" utilisent les chiffres les moins "catastrophiques". En particulier, concernant la réduction des émissions des gaz à effet de serre anthropiques, le fameux "facteur 2". Ce facteur, qui signifie réduire de moitié les émissions mondiales actuelles d'ici 2050, est en réalité un objectif minimaliste car acceptable aux yeux des forces économiques qui dominent le monde (industries automobiles et pétrolières, finances, ...). Et c'est pourquoi il est repris en boucle par de nombreux acteurs politiques ou économiques. Un peu à la manière dont ces forces avaient réussi au niveau internationale à remplacer "écodéveloppement" par "développement soutenable" (sustainable development), et en France "sustainable development par "développement durable". Les mots ont un sens, les communicants de l'idéologie dominante, internationale et nationale savent en jouer à merveille.

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